(2) La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !
C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui fait notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.
Par contre, il y a des inégalités de consommation dans tout le monde.
(3) Ce sont les pays en développement qui propulsent l'expansion rapide des revenus au plan mondial et qui en sont les bénéficiaires. L'économie mondiale se porte particulièrement bien ces dernières années. Le revenu mondial par habitant augmente plus rapidement que jamais. Si l'on inclut les projections récemment rendues publiques pour 2007, le produit intérieur brut (PIB) mondial par habitant a augmenté de 2,3 pour cent en moyenne, ces cinq dernières années, ceci par contraste avec un taux annuel de 1,2 % de 1990 à 2002 et un taux annuel de 1,4 % de 1981 à 1989 De 1960 à 1973, 85 % de la croissance mondiale cumulative du PIB étaient dus aux pays à haut revenu. Ce chiffre est tombé à 78 % entre 1973 et 2001 et à seulement 68 % de 2001 à 2005.
C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui fait notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.
Par contre, il y a des inégalités de consommation dans tout le monde.
(3) Ce sont les pays en développement qui propulsent l'expansion rapide des revenus au plan mondial et qui en sont les bénéficiaires. L'économie mondiale se porte particulièrement bien ces dernières années. Le revenu mondial par habitant augmente plus rapidement que jamais. Si l'on inclut les projections récemment rendues publiques pour 2007, le produit intérieur brut (PIB) mondial par habitant a augmenté de 2,3 pour cent en moyenne, ces cinq dernières années, ceci par contraste avec un taux annuel de 1,2 % de 1990 à 2002 et un taux annuel de 1,4 % de 1981 à 1989 De 1960 à 1973, 85 % de la croissance mondiale cumulative du PIB étaient dus aux pays à haut revenu. Ce chiffre est tombé à 78 % entre 1973 et 2001 et à seulement 68 % de 2001 à 2005.
(4) Si, au niveau global et compte-tenu de l’accroissement démographique, les taux de pauvreté ont diminué depuis une vingtaine d’années, ils augmentent dans certains pays, notamment en Afrique. De plus les inégalités se creusent entre les pays les plus riches et les plus pauvres ainsi qu’entre les individus à l’intérieur des pays.
3 milliards de personnes vivent avec moins de 2 dollars par jour, dont 1 milliard de personnes en dessous du seuil de pauvreté fixé à 1 dollar. Lutter contre la pauvreté nécessite de prendre en compte son caractère pluridimensionnel : économique, social, culturel, politique, environnemental et d’agir sur les inégalités, les exclusions, les mécanismes de redistribution des richesses créées à partir des biens communs mondiaux.
3 milliards de personnes vivent avec moins de 2 dollars par jour, dont 1 milliard de personnes en dessous du seuil de pauvreté fixé à 1 dollar. Lutter contre la pauvreté nécessite de prendre en compte son caractère pluridimensionnel : économique, social, culturel, politique, environnemental et d’agir sur les inégalités, les exclusions, les mécanismes de redistribution des richesses créées à partir des biens communs mondiaux.
Moi je pense que c´est une bonne idée de faire une journée sans achats car comme ça ont laisse d´être des fous de consommation pendant 24 heures. Et on pense aussi aux personnes pauvres qui n´ont rien et d´autres quont la moitié que nous, qui eux souffrent beaucoup. Et même on se plaint qu´on possède peu et on veut consommer de plus en plus.
Pou conclure, je veux dire que si ont laisse pas de consommer comme des fous, encore plus de gens vont mourir et va être notre faute parce qu´on sait pas se contrôler. Et alors nous allons nous sentir coupables.
Bibliographie :
(1) Lieu : Internet
Page : Respire.asbl
Adresse : www.respire-asbl.be/.../jsa-2-e4d53.gif
Date : 12/11/09
(2) Lieu: Internet
Page : 26 Novembre Journée Mondiale Sans Achats
Article: Le pouvoir de dire non ?
Adresse: http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
Date :12/11/09
(3) Lieu : Internet
Page : Idées pour le Développement. Blog
Article : Croissance, Inégalité et Développement mondial : Qui reste à la traîne ?
Adresse : http://www.ideas4development.org/fr/post/article/croissance-inegalite-et-developpement-mondial-qui-reste-a-la-traine.html
Date : 12/11/09
(4) Lieu : Internet
Page : Adéquations
Article : Lutter contre la pauvreté, les inégalités, les exclusions
Adresse : http://www.adequations.org/spip.php?article268
Date : 12/11/09
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